Drôles d'expat: vivre à Neuchâtel? «La dolce vita!»
Léa Spini, qui vient de finir son master, a quitté Fribourg pour Neuchâtel et elle ne regrettre rien.
Leila Fernandez
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Drôles d’expat (4/5) » On prétend que le terroir façonne la collectivité et qu’il contribue à nourrir l’identité individuelle. Mais si le sol qui l’a vu naître et grandir «fait» l’humain, que se passe-t-il lorsqu’on s’exile, ne serait-ce que hors canton?
En cette journée suave et ensoleillée, c’est à la terrasse du Biergarten, à l’ombre rafraîchissante des arbres du Jardin anglais de Neuchâtel, que nous avons rendez-vous avec Léa Spini. Très avenante, cette Neuchâteloise d’adoption respire la joie de vivre. La jeune femme de 26 ans, qui vient de terminer son master en communication, explique se sentir heureuse et soulagée «que tout cela soit désormais derrière».
Mathieu Fleury s’est installé à Fribourg il